Des vacances en Italie ... Voilà ce que je vous raconterai aujourd'hui ... Trois semaines au mois d'août bien occupées ... Un régal ! J'y consacrerai trois billets ... Le sujet est dense, vous savez ? :-)
Nous voici donc, en ce premier jour, à Savone. Savone, c'est à une poignée de kilomètres de Cannes mais, que voulez-vous, il faut bien trouver une jolie ville pour déjeuner sur le chemin de la Toscane, où se fera notre premier vrai arrêt.
Nous découvrons Savone pour la première fois, néanmoins ...
Une très jolie ville, avec ses arcades si typiques du Nord de l'Italie ...
Ses superbes façades ... N'oubliez pas de lever le nez ! Ses très belles traces d'Art Nouveau ...
Ses auberges alléchantes ...
Ses jolies terrasses nichées dans des cours ravissantes ...
Ses Vespa, bien sûr ...
Ses églises baroques ...
Ses cafés ...
Ses places élégantes ...
Ses statues religieuses à chaque coin de rue ...
Ses rues pleines ...
... d'élégantes boutiques ...
Alors nous reviendrons un peu plus longtemps une autre fois. Pour son port ...
Ses vestiges d'un riche passé historique ... même si les bombardements de la Seconde Guerre mondiale n'épargnèrent pas la ville ...
Ses boutiques de produits italiens merveilleux ... Besio est un endroit dont on ne ressort pas les mains vides, croyez-moi ! 😁 Mais il nous faut continuer notre route si nous voulons arriver en Toscane ...
... en fin de journée, au moment où la lumière sur les champs de blé prêts à être fauchés est la plus belle ...
Une jolie trattoria appelée "La Vecchia Lira".
La perspective de produits locaux et "Slow Food" nous met immédiatement en appétit.
La gastronomie en Italie, c'est déjà quelque-chose mais en Toscane, on atteint des sommets !
Nous nous partageons une belle planche d'antipasti ... La bruschetta aux foies de volaille est particulièrement excellente ... Tout est de qualité exceptionnelle, cela dit !
Pour la suite, nous avons envie de pâtes ... Je me régalerai de tagliolini assaisonnés de pesto de tomates séchées, amandes et basilic, et de plein de poutargue d'Orbetello râpée.
Clem succombe aux charmes délicieusement odorants des pappardelle au sanglier.
Quant à Philippe, il dévore son assiette de pici cacio e pepe parsemée d'un excellent pecorino local.
Nos déambulations nocturnes nous amènent devant un glacier qui semble avoir bonne presse ... L'Isola del Gusto.
Une toute petite échoppe qui ne paye pas de mine mais dont la fée des glaces qui la tient, Ersilia Caboni, attire les foules ! Ses glaces ont obtenu plusieurs prix dans des compétitions, particulièrement celle que vous voyez ici, juste en-dessous d'une boule de simple "fior di latte", La "Crema di Ersilia", une crème de mascarpone au miel glacée, entrelacée de filets de chocolat noir et de pralin de noisettes ...Un régal ...
On déguste nos glaces en remontant vers la Piazza dei Priori, ...
... très belle aussi lorsqu'elle est éclairée.
En passant, on repère un restaurant dont la devise nous plaît bien, surtout ici, en Toscane, où la viande est si bonne ! Nous y reviendrons demain soir ...
Le lendemain matin, Porchettino est sur le pied de guerre de bonne heure. Et nous aussi, forcément, pour profiter de la journée qui se présente.
Notre joli hôtel propose un petit-déjeuner sympathique, ce qui n'est pas toujours le cas, d'après notre expérience, en Italie.
Sur le toit, au-dessus des chambres, il y a une belle terrasse qui sert aussi de bar.
Avec une telle vue sur les toits de Volterra, le Spritz doit être encore meilleur !
Mais bon, nous y reviendrons en fin d'après-midi. Pour l'instant, on repart explorer la ville, ...
... qui n'est pas immense ...
... mais qui rassemble quelques vraies belles choses à voir ...
... et à visiter.
Volterra, c'est aussi et surtout la ville de l'albâtre, que l'on extrait dans la région depuis le Vème siècle avant J.C. La sculpture sur albâtre, Volterra l'a directement héritée des Étrusques. Volterra est en effet une ville d'origine étrusque et il reste dans la ville quelques jolis vestiges de cette époque, et surtout, un très beau musée qui présente d'incroyablement belles et nombreuses urnes funéraires sculptées.
Le travail artisanal de l'albâtre est encore bien présent et on peut admirer des très belles pièces dans quelques échoppes de vrais artisans.
Certaines pièces sont assez simples et abordables mais d'autres, comme ici ... ... ou bien là, surtout ... sont complexes et absolument magnifiques !On est en Italie et entre deux jolies choses, il faut boire un café !
L'Incontro est le parfait endroit pour se poser un peu.
Le cappuccino y est délicieux et l'espresso freddo est servi dans de jolies coupes.
Et surtout, on peut accompagner ce café de divines petites sfogliatelle, des pâtisseries au croustillant incomparable lorsqu'elles sont bien faites, des petits cornets très feuilletés fourrés d'une crème à base de semoule, ricotta et fruits confits. Servis tièdes, elles sont une délicatesse incontournable à l'heure du café !
Nous repérons aussi les focacce que l'on sert ici.
Peut-être que demain, avant de nous remettre en route, viendrons-nous les goûter ?
Je ne résiste pas à l'envie de photographier les spécialités locales pour essayer de les reproduire lorsque nous serons rentrés à la maison ... Brutti ma buoni, une sorte de meringue aux noisettes au nom de prime abord peu engageant mais bien bonne ...
Tout comme les Ossi di morto, ou os des morts (!) ...
Panforte ... L'une de mes confiseries préférées, originaire de Sienne, saturée d'amandes, de fruits confits et d'épices.
Et puis bien sûr le Panpepato, que l'on pourrait traduire par "pain poivré", le cousin venu d'Ombrie du panforte toscan. Des épices, des fruits secs, du cacao et de l'orange confite ... Un régal ...
En ressortant de cette antre de la gourmandise, nous voilà à nouveau au milieu des senteurs toscanes. La truffe de Volterra est la star de cette boutique-là !
Je vous la fais courte mais les tentations gourmandes rendent la déambulation compliquée, en Toscane ! 😀
Allez, un peu de culture, quand même, avec un retour sur la Piazza dei Priori et une visite du palais du même nom, le plus ancien édifice communal de Volterra. Au Moyen-Âge, il abrite les organes collégiaux de la République de Volterra et aujourd'hui, on y trouve encore une partie des bureaux communaux. On le visite néanmoins.
Sa façade est décorée d'écussons de terre cuite vernissée représentant les armoiries des familles florentines qui donnèrent des gouverneurs à la ville.
Son entrée est assez majestueuse, ornée d'écussons en terre cuite brute.
On grimpe ensuite jusqu'à la salle du conseil, entièrement décorée de fresques ...
... et éclairée par de drôles de dragons porte-flambeaux !
Juste derrière, une petite chapelle qui sert aujourd'hui de salle pour des réunions moins publiques ...
L'ambiance reste assez médiévale, comme vous pouvez le voir.
À l'étage supérieur est présentée une exposition consacrée à Raffaelo Gambogi, un peintre du début du siècle dernier dont les scènes de genre sont presque des photographies.
De son séjour à Volterra, ...
... où il a résidé alors qu'il était suivi dans un
établissement psychiatrique pour une dépression gravissime, il reste
quelques belles toiles représentant la ville ...
Encore un effort pour atteindre le haut de la tour ...
... et son énorme cloche ...
L'occasion d'admirer la vue magnifique à la fois sur la ville et sur la campagne environnante. Avez-vous remarqué, sur la façade de la tour, l'animal qui pointe le bout de son nez ?
C'est un petit cochon ... d'où le nom de la tour, dite du "porcellino". Il a quand même une tête de sanglier, ce petit cochon-là ...
Et puis la vue sur les toits de tuiles et toutes ces vieilles pierres aux tons multiples d'ocres est juste magnifique.
En redescendant, on part vers le Palais Viti. Si l'on veut avoir une idée de comment vivait la société riche de Volterra, c'est ici qu'il faut venir. Construit à la fin des années 1500 par un noble de Volterra, Attilio Incontri, ministre du Grand-Duc de Toscane, il possède à la fois les caractéristiques de la Renaissance et celles du baroque alors naissant.
En 1850, Benedetto Giuseppe Viti, un riche marchand d’albâtre, rachète le bâtiment, lui adjoint un second étage et le décore selon la mode de l’époque. Giuseppe Viti a fait fortune en effectuant de nombreux voyages commerciaux pour vendre ses albâtres, aux États-Unis d'abord, un échec cuisant, puis en Amérique du Sud où il ouvrira même un magasin général à Rio de Janeiro et puis surtout en Asie, où, là, il va se déchaîner ! 😀Il se lie d'amitié avec le Rajah de la région d'Oudh (une ancienne province sous le régime colonial britannique) qui lui achète tous ses albâtres et le nomme en prime d'abord conseiller, puis émir du Népal ! Devenu extrêmement riche,il rentre chez lui et rachète donc le palais Incontri.
Lorsqu'on le visite aujourd'hui, il faut se dire que tout est resté intact. Ô temps, suspends ton vol ...Je ne vous ferai pas ici la visite en détail des lieux mais sachez que ce sont les descendants de Giuseppe Viti qui vous accueillent ici et que les douze pièces de la maison sont emplies de souvenirs des vies des gens qui y ont vécus. Une vraie maison de famille ...
Il y a bien sûr d'extraordinaires objets en albâtre, comme cette coupe incroyablement ciselée installée au beau milieu ...
On découvre au fil des pièces les objets rapportés par Viti de ses lointains voyages... Cette jonque chinoise en ivoire finement ciselée est de toute beauté.
Les pièces s'enchaînent et c'est à chaque fois l'occasion de s'émerveiller devant leur décoration.
Nombreux sont les princes et personnalités qui ont fréquenté cette maison.
Victor-Emmanuel II a dormi dans ce lit en 1861 ... 😀
Comme toujours, je suis très intéressée par tout ce qui concerne la vaisselle et l'art de la table ...
... et ici, je suis servie ! La collection de bols à bouillon, particulièrement, est extraordinaire !
Il y en a de pleines vitrines, de toutes les manufactures de porcelaine ! Un véritable feu d'artifice !
J'ai un petit faible aussi pour les grandes bibliothèques et celle-ci donne envie de s'y poser.
J'aime particulièrement cette lampe à l'abat-jour traité en lithophanie. Un travail extraordinairement fin de la manufacture royale de Berlin ... Somptueux ...
Et puis il y a ces photos, aussi. Partout, sur tous les meubles, de jolies photos de la famille au fil des époques. J'aime particulièrement celle-ci ! 😀
En ressortant du palais, la faim nous prend ! 😃
On traverse la Piazza San Michele ...
... et on trouve vite notre bonheur ! La Bottega del Pecorino ...
Sa publicité est simple ...
On salive juste en regardant ces petites pancartes ...
... promesses des délices à venir.
Nous voici donc attablés dans l'arrière-boutique ...
Nos sandwiches arrivent, chargés de produits délicieux ! Jambon cru et tomates séchées à l'huile ...
Mortadelle, pecorino frais et crème d'artichauts ... Tout est délicieux.
Et particulièrement le pecorino, la grande spécialité de la maison !
Après ce savoureux en-cas, nous nous dirigeons vers le Musée Étrusque Guarnacci. Ce n'est pas un petit musée avec quelques pièces mais bel et bien l'un des plus importants du genre. Créé en 1761, c'est l'un des plus anciens musées public d'Europe.
La nécropole de Volterra a fourni la plus grande partie des urnes funéraires exposées ici. On les reconnaît car elles sont en albâtre. Cette collection d'urnes hellenistiques rassemble des pièces produites entre les 4ème et 1er siècles avant J.C. Les défunts qui en ornent les couvercles sont toujours représentés couchés sur leur côté gauche lors d'un banquet. Les thèmes principaux représentés sur les coffres sont des représentations du départ ou du voyage après la mort. Ces scènes marquaient les rite de passage, pour le défunt, dans l'après-vie. On y retrouve souvent les démons de Vanth, la messagère de la mort des Étrusques, et Charun, le démon de la mort, qui accompagne les âmes lors de ce périlleux voyage ...
Sur l'urne ci-après, la défunte quitte cette vie sur un char tiré par un cheval. Sa famille lui fait ses adieux.
Celle-là représente deux
époux qui se serrent la main avant que l'un d'eux ne commence le voyage.
Une salle est consacrée aux urnes représentant des scènes mettant en scène des créatures sauvages, réelles ou imaginaires, ...
... qui donnent une bonne idée de la conception étrusque d'une vie après la mort peuplée d'êtres monstrueux, de démons, de sirènes, de griffons ...
Cependant que nous admirons ces pièces extraordinaires, une certaine agitation règne dans la salle d'à côté. Une urne retrouve sa place, sans doute après une restauration, à moins que ce ne soit après un voyage ponctuel dans un autre musée.
La manœuvre semble périlleuse. Les urnes d'albâtre sont en effet de belle taille et bien lourdes ...
Je ne m'étendrai pas plus sur le sujet, le musée comportant quelque 600 urnes funéraires et autres sarcophages. Je vous en montre néanmoins une dernière, enfin ... juste son couvercle ... appelée l'Urne des Époux, que je trouve particulièrement émouvante.
À côté des ces objets funéraires,il y a dans ce musée une petite collection de figurines étrusques en cuivre ...
... dont la pièce maîtresse est incontestablement la célèbre Ombra della Serra, L'Ombre du Soir, dont on ne peut penser que Diego Giacometti, au XXème siècle, ne s'est pas inspiré, et qui date de la fin du 3ème siècle avant J.C. Si ancienne et pourtant d'une tellement étonnante modernité !
C'est ici que s'achève notre visite du musée étrusque. Si vous passez à Volterra, sachez qu'il faut y consacrer du temps et lire les panneaux explicatifs, toujours intéressants. Passer passivement d'urne en urne n'aura que peu d'intérêt si vous ne prenez pas le temps d'en découvrir toute la magie ... Une belle plongée au cœur de la civilisation étrusque, l'essence même de la ville dans laquelle vous vous trouvez.
Poursuivons notre promenade ...
Je vous offre au passage une petite vue sur les remparts de Volterra ...
... sur le théâtre antique ...
... et sur la forteresse des Médicis, construite entre les XIIIème et XVème siècles, que l'on ne peut malheureusement pas visiter puisqu'elle est aujourd'hui devenue prison.
C'est l'heure de s'hydrater. L'été en Italie, c'est magnifique mais cela peut être très chaud ! 😃
En repartant, nous nous arrêtons sur l'ancienne acropole de Volterra, dont il reste quelques vestiges.
... dont une très belle citerne romaine du Ier siècle après Jésus-Christ ...
... dans laquelle on peut descendre par un escalier en colimaçon amusant pour celles et ceux qui, contrairement à moi, ne souffrent pas du vertige ! 😀
De retour à l'hôtel (la ville n'est pas bien grande et notre hôtel est au beau milieu du centre historique), l'heure est au repos et à un rafraîchissement bien mérité ...
... sur le toit-terrasse.
Deux petites heures de sieste bien au frais et nous voilà prêts à aller dîner ! Nous voici donc devant la Taverna della Terra di Mezzo, où nous avons la chance de trouver une place !
On est tout de suite très bien accueilli et, en attendant notre Bistecca alla Fiorentina, Roberto, le patron, nous montre une carte de vins locaux bien intéressante. Notre choix se porte sur ce Marcampo, ...
... un vin toscan produit à Volterra-même, un assemblage de merlot de de sangiovese, le cépage rouge toscan tout à fait délectable !
Pour l'accompagner (oui, c'est dans ce sens là qu'on procède, nous ! 😀), un bel assortiment de bruschette.
Arrive la fameuse bistecca,...
... cuite à la perfection ! La bistecca, c'est une spécialité florentine, un gros T-bone issu d'une vache de la race toscane Chianina, bien épais et cuit au feu de bois. La viande est vraiment savoureuse, la partie dans le filet est d'une tendreté incomparable ! On nous la sert ici avec quelques accompagnements mais souvent, elle se suffit à elle-même !
Un pur régal pour les vrais carnivores ! 🥩🥩🥩
Pour le dessert, les hommes prennent un très bon tiramisu au vin santo et cantucci, ces biscuits toscans pas mal durs mais si délicieux. Quant à moi, un petit verre de vin santo me suffit !
... Et puis un petit verre de grappa maison, aussi, gentiment offert par Roberto ! 😃 Après cela, je n'ai plus qu'à filer au lit !
Le lendemain, jour de notre départ pour Naples, on retourne se promener un peu. On n'est pas vraiment pressé.
Le ciel est bien bleu et de bon matin, c'est agréable de flâner au fil des ruelles de Volterra.
Ce matin, nous visiterons la cathédrale Santa Maria Assunta, autrement appelée le Duomo de Volterra.
De style roman, datant du Moyen-Âge avec une reconstruction et un agrandissement, suite à un tremblement de terre en 1117, dans la seconde moitié du XIIIème siècle, elle présente un portique en marbre fait de matériaux récupérés du théâtre romain de Vallebona.
L'intérieur, restauré dans les années 1840, offre un aspect de Renaissance tardive, avec vingt-deux colonnes recouvertes de stuc simulant le granit rose et des murs peints de bandes blanches et grises ...
... tandis que les chapiteaux en stuc blanc et sertis d'or ont été réalisés au XVIème siècle. Le plafond à caissons est impressionnant aussi.
L'autel est décoré d'albâtre ...
La chair a été assemblée en 1584 avec des éléments de mobilier du XIIème siècle.
... et soutenue par des colonnes reposant sur de drôles de créatures.
Au centre, un petit cloître mignon ...
Le baptistère de San Giovanni se trouve à l'extérieur de la cathédrale. De plan octogonal, il présente une façade revêtue de bandes de marbre blanc et vert. Son portail est roman.
Dedans, six niches couvertes par un dôme entourent, en face de la porte d'entrée, les fonts baptismaux surmontés d'une statue de Saint Jean-Baptiste réalisée par Giovanni Antonio Cybei en 1771.
En sortant de là, on profite encore un peu de la beauté de la ville médiévale ...
On admire les jolies enseignes ...
On rend visite aux artisans locaux ...
Celui-ci fabrique de petites statuettes en cuivre très étrusques.
Lui, il travaille le papier et en fait d'impressionnantes sculptures ...
La galerie Kalpa a toutes mes faveurs !
Philippe est cuit. D'ici un mois, sa hanche douloureuse ne sera plus qu'un lointain souvenir !
Nous déjeunerons ici avant de partir, non sans avoir réservé une nuit d'hôtel supplémentaire pour notre voyage de retour. Cette ville a vraiment toutes nos faveurs !
Une focaccia farcie, donc, avant de prendre la route pour Naples. Pecorino et jambon cru pour l'un ...
Lardo et artichauts pour un autre. Une autre, en fait ! 😀
Et aubergines et mortadelle pour le troisième !
Enfin nous avons goûté ces fameuses fougasses de l'Incontro !!! On termine le repas avec un expresso froid et une sfogliatella.
Nous quittons Volterra le cœur un peu gros ... mais pas trop car ...
... nous savons que nous reviendrons vite ...
... et que nous nous dirigeons ...
... vers d'autres très belles découvertes !
À très vite, pour une visite de Naples !
J'en rêvais depuis longtemps et enfin, cela arrive !
Chouette !!!! De nouvelles aventures......
RépondreSupprimerQuel bonheur de vous lire et de découvrir ces magnifiques photos et toutes ces belles découvertes culinaires …. L’impression d’avoir voyager avec vous ! 🤩
RépondreSupprimerToujours aussi intéressant de vous suivre… tjs un rêve vos voyages et b9n sang que cela donne faim
RépondreSupprimerMerci Helene. … Nadia
Merci également pour cette découverte de Volterra qui m'a l'air magnifique alors que je ne connaissais pas du tout! Savone a l'air superbe également.... Peut être dans ma to-do-list de 2023 :)
RépondreSupprimer